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Shell expédie sa première cargaison de GNL depuis la côte ouest du Canada.
01 juillet 2025
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LNG Canada ouvre une nouvelle voie d'exportation vers l'Asie tandis que Shell vise une transition énergétique axée sur le gaz.
 Shell Canada Energy a expédié la première cargaison de gaz naturel liquéfié (GNL) depuis l'usine de GNL Canada à Kitimat, en Colombie-Britannique. (Image : Shell)
 Shell Canada Energy a expédié la première cargaison de gaz naturel liquéfié (GNL) depuis l'usine de GNL Canada à Kitimat, en Colombie-Britannique. (Image : Shell)Shell Canada Energy a expédié la première cargaison de gaz naturel liquéfié (GNL) depuis l'usine LNG Canada de Kitimat, en Colombie-Britannique, marquant une étape importante pour le secteur énergétique canadien et pour le portefeuille gazier mondial de Shell.
Shell détient une participation de 40 % dans LNG Canada, soit la plus importante parmi les cinq participants à la coentreprise. L'usine de Kitimat comprend deux trains de traitement de GNL d'une capacité d'exportation combinée de 14 millions de tonnes par an (Mtpa). Le GNL produit sera distribué sur les marchés internationaux, principalement en Asie.
« LNG Canada renforce notre portefeuille gazier intégré de premier plan, en assurant un approvisionnement fiable en GNL aux marchés, notamment en Asie », a déclaré Cederic Cremers, président de la division Gaz intégré de Shell. « Nous prévoyons que la fourniture de GNL constituera la contribution la plus importante de Shell à la transition énergétique au cours de la prochaine décennie, et des projets comme LNG Canada positionnent notre portefeuille pour atteindre cet objectif. »
Le début des expéditions depuis Kitimat ouvre une nouvelle voie d'exportation de GNL dans le Pacifique, reliant les abondantes ressources gazières de Colombie-Britannique, à bas coût, à la demande asiatique croissante. Alors que les économies de la région se détournent de plus en plus du charbon, le GNL canadien devrait contribuer à réduire les émissions mondiales. Le gaz naturel émet moins de dioxyde de carbone que le charbon lorsqu'il est utilisé pour la production d'électricité et constitue une source d'énergie de secours fiable pour les énergies renouvelables intermittentes.
Les prévisions de Shell concernant le GNL à l'horizon 2025 tablent sur une hausse de 60 % de la demande mondiale de GNL d'ici 2040, principalement tirée par la croissance économique et la diversification énergétique en Asie. L'entreprise a annoncé un plan de croissance annuelle de ses ventes de GNL de 4 à 5 % jusqu'en 2030, visant à consolider sa position de leader sur le marché.
Chaque partenaire de la coentreprise LNG Canada fournira son propre gaz naturel et gérera sa propre part des achats de GNL . Outre la participation de 40 % de Shell Canada Energy, les autres parties prenantes sont PETRONAS (25 %), PetroChina (15 %), Mitsubishi Corporation (15 %) et Korea Gas Corporation (5 %). Le projet est exploité par LNG Canada Development Inc.
Au-delà de son rôle dans la décarbonation, ce projet représente un investissement majeur dans l’infrastructure énergétique du Canada. À ce jour, plus de 50 000 Canadiens y ont travaillé et plus de 5,8 milliards de dollars canadiens en contrats et sous-contrats ont été octroyés à des entreprises locales, autochtones et régionales de la Colombie-Britannique .
Le projet prévoit également une option pour une future phase 2 d'expansion, qui ajouterait deux trains de liquéfaction de GNL et doublerait la capacité d'exportation à 28 millions de tonnes par an. Bien qu'aucune décision d'investissement définitive n'ait été prise concernant cette expansion, son inclusion témoigne de l'engagement à long terme des partenaires envers le développement du GNL au Canada.
LNG Canada est la première installation d'exportation de GNL à grande échelle du pays, et son lancement survient alors que le Canada est de plus en plus incité à tirer parti de ses réserves de gaz naturel dans le cadre de la transition énergétique mondiale. En exploitant la demande asiatique depuis la côte Pacifique, ce projet réduit les délais de transport et les émissions par rapport aux routes passant par le golfe du Mexique, par laquelle transite actuellement la majeure partie du GNL nord-américain.
Pour Shell, cette étape importante à Kitimat souligne un virage stratégique vers le gaz naturel, pilier central de sa stratégie de croissance à faible émission de carbone. L'entreprise poursuit son désinvestissement des actifs pétroliers en amont tout en renforçant ses infrastructures et ses capacités de négoce de GNL afin de soutenir la sécurité énergétique et la décarbonation des marchés mondiaux.
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